Ils ont des milliers, parfois des millions d’abonnés. Ils posent, ils font rire, ils testent des produits… et ce ne sont pas des humains. Bienvenue dans le monde des petfluncers, ces chiens, chats, lapins – ou même perroquets – devenus des célébrités sur les réseaux sociaux.
À l’origine : un maître passionné
À l’origine, souvent, il y a un maître passionné, un brin créatif, qui partage le quotidien de son animal. Puis viennent les abonnés, les likes, les collaborations. Et très vite, Médor ou Moustache deviennent ambassadeurs de marques, égéries d’accessoires ou même “testeurs” de croquettes.
Pourquoi un tel engouement ?
Ce phénomène séduit pour une raison simple : les animaux font du bien. Ils apportent de la douceur, de l’humour, une forme d’authenticité qui tranche avec les contenus trop parfaits. On aime suivre les aventures d’un bouledogue maladroit, les câlins d’un chaton ronronneur ou les mimiques rigolotes d’un furet farceur. Ils font sourire, apaisent, et créent une vraie communauté autour d’eux.
Attention à ne pas franchir la limite
Mais derrière les photos mignonnes, il faut rester vigilant. Un petfluncer, aussi populaire soit-il, reste un être vivant. Pas un outil marketing. Il n’est pas là pour performer. L’essentiel ? Que les contenus soient réalisés avec bienveillance, sans contrainte, sans mise en scène excessive. Un animal heureux… ça se voit, et ça se sent.
Et pourquoi pas votre animal ?
Et si votre compagnon a du style, de l’humour ou une bouille à croquer, pourquoi ne pas lui créer un compte ? Avec un peu d’amour, beaucoup de respect, et une bonne dose de tendresse, il deviendra peut-être la prochaine star du web !
